Basés sur une technique simple qui consiste à mesurer le taux de gonadotrophine dans les urines car il est élevé au cours des six premières semaines, on peut toutefois se demander si la réponse donnée est toujours exacte.
Une étape simple
Il suffit de déposer son urine sur une bandelette et d’attendre par la suite que le test donne une réponse positive ou négative. Cependant, devant la prolifération de nouveaux tests de grossesse, les femmes commencent à douter sur le taux d’exactitude de chacun d’eux. Elles continuent à utiliser en masse ce type de produit afin d’avoir un premier avis mais ne sont certaines qu’une fois la prise de sang réalisée.
Un résultat à prendre avec recul
Il est établi que ces tests sont fiables à 99% car le test a été validé par une prise de sang quelques jours plus tard. Cependant, il est déjà arrivé qu’il indique qu’une femme est enceinte alors qu’elle ne l’est pas ou à l’inverse que le test est négatif alors que la personne concernée porte réellement un enfant. De ce fait, en le réalisant, il faut bien avoir conscience qu’il existe 1% de marge d’erreur.