Alors qu’auparavant, il fallait attendre la deuxième écographie pour connaître avec la précision le sexe de l’enfant, sachant que la méthode n’était pas infaillible, la science a alors évolué et propose désormais un test ADN.
Une possibilité en Grande-Bretagne
Pour le moment, cette technique n’est disponible que dans cette région d’Europe mais elle pourrait rapidement gagner tous les autres pays. En effet, ce test permettrait alors de connaître le sexe de son enfant dès six semaines soit moins de deux mois, ce qui est une avancée extraordinaire en la matière. Le lien avec l’enfant est alors plus fort.
Une analyse rapide
Il suffit alors d’une goutte de sang de la mère pour connaître la réponse mais déjà les autorités de santé craignent des débordements avec cette nouvelle science qui pourrait alors mener à de nombreuses IVG si le sexe du bébé n’est pas conforme aux exigences du couple.
Le problème pourrait se poser notamment en Inde ou en Chine, deux états qui sont pour le contrôle des naissances. Pour l’instant, la France a affirmé qu’elle ne l’accepterait pas mais cela n’empêchera pas les femmes françaises de se rendre Outre-Atlantique.